Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 22:09

Mon initiation en tant que maîtresse où comment appréhender cette nouvelle partie de moi qui se veut de plus en plus présente dans mon imaginaire, mes pensées et mes désirs. Une façon nouvelle de prendre plaisir, celle d'une Maîtresse en devenir qui va apprendre à dresser un esclave...que dis-je, MON esclave.

 

Maîtresse Emi...

 

...Une novice de la domination, qui du haut de ses 25 ans à soif de découvrir l'art du dressage de soumis. Élégante, féminine et ouverte - sur tout et à tous. 1m65 de brutalité, 50 kgs d'autorité, 85B de punitions. Nombreuses sont les personnes qui se décrivent mi-ange, mi-démon - expression aussi banale que contradictoire, n'est-ce pas ? -, pour ma part je dirais que je suis mi-gnangnan, mi-perverse. J'ai conscience que les pensées sexuelles font parties de mon quotidien mais c'est aussi pour le plus grand plaisir de mon esclave. Je veux que mon corps soit synonyme de fantasme, qu'il inspire le plaisir de la domination, la souffrance des châtiments. Après tout, quoi de plus jouissif qu'avoir un esclave à ses pieds ? Tantôt sadique infligeant des sévices corporels, tantôt bienveillante câlinant mon soumis poilu.

 

 

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Par confidences-de-maitresse-emi - Publié dans : Apprentissage de maîtresse Emi
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Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 22:20

Cela fait maintenant quelque temps que ce désir de domination s'est fait ressentir, et celui qui est devenu mon esclave savait que l'exploration de cette nouvelle partie de moi me procurerait du plaisir et de la satisfaction. J'ai toujours été un peu - voire beaucoup dans certains cas - dominatrice. Mais cette fois je suis à la recherche d'un pouvoir plus grand. Je souhaite tout simplement imposer ma supériorité à un homme, faire de lui un objet sexuel à ma disposition, prêt à assouvir le moindre de mes désirs et caprices. Je veux un esclave docile que je pourrais malmener comme bon me semble. Lui faire prendre conscience de son statut inférieur. C'est d'ailleurs dans ce sens que mes premières expériences de maîtresse se sont dirigées.

 

Je me souviens de notre première séance. Nous avons acheté une cravache afin de leIMG 20151128 160347 corriger pour ses mauvais agissements (tout au long de la semaine, j'ai relevé toutes les choses qu'il a mal fait), le plaisir de la punition est si intense que d'autres objets de corrections s’ajoutent : main (la fessé n'est-elle pas le plus simple des plaisirs ?), gant en cuir, brosse à cheveux, ustensile en bois. Chaque claquement contre sa peau nue m'exalte. Mon corps est parcouru de frissons, des frissonnements de plaisir, car oui, c'est à ce moment que je prends véritablement conscience qu'on peut éprouver du plaisir en étant sadique.

 

 

Au fur et à mesure du temps mon sadisme s'intensifie, je ressens le besoin de montrer encore plus ma supériorité sur mon soumis. Je réfléchis alors à plusieurs scénarios d'initiation à la condition de soumis, dans chacune de ces situations il est primordial de traiter mon esclave comme un sous-être, un animal, un objet, et il fût tout cela.

  • Tout d'abord un sous-être en étant littéralement à mes pieds. A quatre pattes, il doit ôter mes sous-vêtements (une jolie guêpière noire en dentelle, maintenue par des porte-jarretelles, le tout perché sur tes talons de 10 cm) en s'aidant uniquement de sa bouche.
  • Puis, il se transforme en animal, plus précisément en poney. Toujours sur ses quatre pattes, je dispose sur lui un paillasson censé représenter la scelle, ensuite je noue une écharpe atour de son cou d’esclave afin de faire des cordes pour le diriger à ma guise. Je m’assieds alors sur son dos ferme et il me promène dans l'appartement. 
  • Enfin l'objet, car j'ai envie de manger en allongeant mes pieds sur un meuble, mon esclave n'a pas d'autre choix que de se mettre en position de table basse pendant que je déguste mon repas (d'excellentes lasagnes préparées par l’esclave en question. Oui, soumis vraiment dans tous les domaines). Lui n'a pas cette chance puisque je le contrains à déguster son plat dans une jolies assiette Princesse posée à même le sol. Pourquoi une telle assiette ? Car ce jour-là, j'avais décidé de l'infantiliser, une autre manière de lui montrer ma toute puissance. Et avant ce repas pour adulte, il se délecte d’un petit pot, comme ceux que l'on sert aux bébés. Bavoir noué autour de son cou, je le frappe quand il en met à côté. 

 

Finalement tout est prétexte pour lui apprendre les bonnes manières Après tout, le dressage d'un esclave se fait au quotidien.

Par confidences-de-maitresse-emi - Publié dans : Apprentissage de maîtresse Emi
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Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 22:41

"Le fist ? C'est quoi ça ? ... Ahhhh mais vraiment ? Lui mettre ma main dans son cul ? Euh comment ? Je ne sais pas faire moi. Je ne savais même pas ce que c'était avant que tu m'en parles". Voilà, mon Cher Esclave, telle fût ma réaction lorsque tu m'as parlé la première fois de ton envie de te faire fister par Maîtresse Emi. A ce moment-là, je n’imagine pas encore que je peux prendre mon pied à insérant une main dans tes jolies fesses...  ...Et en pratique...ou l'art du fist-fucking par Maîtresse Emi

 

Le fait est que, après avoir pris connaissance de ton dernier fantasme, j’étais légèrement dérouté. Te travailler l’anus comme on le fait pour vider la dinde de Noël, il en était tout simplement hors de question. D'autant plus que je n'avais aucune idée de la manière dont il fallait s'y prendre. Je t’assure, fût une époque où ta maîtresse brillait par son innocence, ou son ignorance, comme tu veux. Comme quoi, devenir la maîtresse d'un esclave demande beaucoup de travail : non seulement je dois te dresser, mais en plus je dois m'éduquer moi-même, apprendre les dessous du sado-masochisme. Pourtant cela ne me dérange pas, bien au contraire, il n'y a pas d'âge pour développer ses connaissances et, surtout, je suis en demande dans ce domaine, je prends extrêmement plaisir à tester de nouvelles expériences pouvant être considérées comme déviantes.

 

Je lui ai alors demandé de me laisser du temps afin de me préparer psychologiquement à cette idée et d'effectuer des recherches sur cette pratique totalement nouvelle pour moi. "Fist", "bondage", je cherchais à comprendre ce que ces mots signifiaient ; ce vocabulaire employé ne m'était pas encore familier mais, grâce à Google, j'ai essayé de comprendre des photos ou tout autre type de représentations. La toile, à condition de s'en servir à bon escient, est un bon outil pour se coucher moins bête. Puis, pour compléter mon éducation, l’esclave m'a envoyé un article extrêmement bien détaillé sur cette pratique. Au fur et à mesure de mon investigation, la possibilité de te fister devenait de plus en plus envisageable. L'annonce de cet autre fantasme fût également le point de départ d'une longue réflexion toujours inachevée sur la vraie nature à donner à notre vie sexuelle, sur moi-même, mes envies, et ce que j'attendais de mon couple. Questionnement typiquement féminin.

 

A présent, ma réaction doit te paraître ironique puisque, depuis que nous nous fréquentons, j’en ai fait des choses de ce style - pour ne pas dire pires  Maîtresse Emi fiste son esclave . Au fond, j'ai conscience de ne plus être totalement la même et pas uniquement parce que ton anus n'a presque plus de secret pour moi. – presque car je ne suis pas prête d’arrêter de jouer avec lui. C'est d'ailleurs toi, esclave, qui tient une place prépondérante dans ma mutation. On s'aide mutuellement à devenir meilleur dans l'art du SM. Quoi qu'il en soit, parmi les différentes pratiques testées jusqu'à aujourd'hui sur toi, avoir ton cul mis à ma disposition est sans aucun doute ce qui a le plus marqué ma domination sur toi.

Par confidences-de-maitresse-emi - Publié dans : Journal intime (réflexions personnelles)
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Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 22:48

En écoutant mon esclave parler de ses jouissances anales personnelle et de son désir de se faire fister par mes soins, cela a commencé par susciter ma curiosité, puis l'envie. Un nouveau défi se présentait à moi et je me sentais capable de le relever. Le souvenir de notre « première fois » (mon soumis n’avait jamais été fisté avant cela et, pour ma part, je n’avais fisté personne non plus) restera certainement l’un des meilleurs moments que j’ai vécu durant mon apprentissage de Maîtresse.

 

Avant même de commencer, la situation m’excite déjà beaucoup, et je suis loin d’imaginer ce qui m’attends. Après quelques coups de langue bien placés, j’estime que l’anus de mon esclave est suffisamment mouillé pour y accueillir un doigt, doigt préalablement léché pour que celui-ci puisse glisser délicatement. Débute alors la danse de mon index autour de cet anus humide. Dans un premier temps, je souhaite seulement jouer, le titiller, créer l’envie. A chaque fois que j’effleure son anus, je sens le désir monter et pas uniquement de son côté. Il en veut plus, je le sais.

 

Puis mon majeur entre en scène. Cette fois-ci je ne me contente pas de simples caresses, j’introduis mes deux doigts dans son anus, un anus qui n’attendait que ça – tout comme mon esclave d’ailleurs. Les premiers gémissements se font entendre – inutile de préciser que ces petits cris étaient particulièrement excitant et stimulant. A ce moment-là je IMG 20151107 155759sens mon esclave détendu, prêt à accepter bien plus que deux petits doigts. L’anus qui commence à se dilater me montre également que je peux passer à la vitesse supérieure.

 

Une fois bien lubrifié, le voilà qu’il se retrouve avec trois de mes doigts dans les fesses. Pour mon plus grand plaisir, je vois l’anus de mon esclave s’ouvrir davantage. Le meilleur dans tout ça c’est que nous ne sommes qu’à la moitié du chemin. S’agissant mutuellement de notre premier fist-fucking, je lui parle pendant l’acte et reste évidemment à l’écoute de ses réactions : sa respiration qui ne cesse de s’accélérer, ses gémissements, ses mouvements corporels notamment son bassin qui réagit quasi instantanément quand mes doigts opèrent – avec efficacité apparemment.

 

Le voir se tortiller dans tous le sens me donne envie de le pénétrer au plus profond. Je le vois s’ouvrir progressivement. Il est temps d’y introduire quatre de mes doigts, seul mon pouce se trouve hors de son anus. J’ai l’impression qu’il n’est plus maître de son corps, il ne le contrôle plus, il s’abandonne totalement à moi. J’effleure du bout des doigts ce qui, sur le moment, me semble être sa prostate. Je pense avoir trouvé un point sensible puisque sa réaction se fait immédiatement entendre. Il m’en demande davantage. Je ne me fais pas longtemps prier car j’en ai tout autant envie que lui.

 

Je pénètre mon esclave avec les cinq doigts bien collés les uns aux autres. J’essaie de gagner du terrain en agissant tel un marteau piqueur mais il semblerait que ce soit la mauvaise méthode. Je décide alors d’exercer une légère pression et de tourner en même temps. A chaque coup, j’ai l’impression que ma main entre un peu plus. J’effectue des vas et viens jusqu’au moment où ma main est littéralement aspirée par son anus. Il me voulait, ça ne fait aucun doute. Ma main se retrouve dans un environnement totalement nouveau pour elle. Il y est fait chaud, et c’est humide à la fois. Tiens, c’est presque aussi mouillé mon entre-jambe. Quant à mon esclave, il a eu le meilleur orgasme de sa vie – c’est lui qui l’a dit.

 

C’était notre premier fist-fucking, la toute première fois que je possédais entièrement mon esclave et que le pouvoir se trouvait entre mes mains – au sens propre comme au figuré.


Par confidences-de-maitresse-emi - Publié dans : Fist-fucking
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Jeudi 7 avril 4 07 /04 /Avr 15:20

Parfois des photos peuvent valoir beaucoup plus qu'un simple récit. Je vous laisse donc découvrir, fantasmer (u plus si l'envie vous en dit) mon esclave dans l'un de ses plus beaux rôles.

 

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Par confidences-de-maitresse-emi - Publié dans : Fist-fucking
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Dimanche 10 avril 7 10 /04 /Avr 12:43

"Sea, sex and sun..." (Serge Gainsbours,  1977), le programme semble plutôt alléchant surtout la partie sur le sexe...bande de coquins. Et vous, que prévoyez-vous pour cet été ? Louer un gîte en France ? Choisir l'étranger avec une formule all inclusive ? Partir en camping ? Pour mon esclave et moi il s'agira de nos premières vacances ensemble et nous n'avons pas mis longtemps à trouver le plan idéal. La saison prochaine nous la passerons nus, autrement dit nous avons décidé de nous lancer dans l'expérience du nudisme. Vous l'aurez compris, Maîtresse Emi, outre son activité de dressage de soumis, aime s’exhiber. Etre nue est une véritable source de plaisir et de bien-être, par exemple après un bon bain chaud, dans un état où le corps est libre, où la peau respire, loin des entraves du vêtement oppressant. Et puis, l'état de nudité est celui de l'Homme par défaut, puisque nous avons vécu nus beaucoup plus longtemps qu'habillés. Selon certains scientifiques, l'être humain a commencé à se vêtir il y a environ 100.000 ans, alors pourquoi ne pas se lancer à notre tour ?

 

S’il existe un lieu emblématique du naturisme en Europe, et même dans le monde, c’est bien le Cap d’Agde, situé au sud du Languedoc Roussillon. De juin à septembre, des milliers de libertins comme vous chers lecteurs se retrouvent le temps d'une soirée de débauche ou pour y passer des vacances coquines. Eh bien oui, des vacances durant lesquelles nous pourrons se prélasser nus sous le soleil, nager en tenue d'Eve, se promener en osmose avec la nature. Face à cette sensation de plénitude, nous sommes tous tentés un jour ou l’autre de prolonger ce plaisir… Alors pourquoi ne pas franchir le pas aujourd’hui ? Après tout, il n'y a pas d'âge pour découvrir le nudisme et oser se libérer du poids de notre société, une société trop bien pensante et tout aussi oppressante. Pour les plus veinards, le naturisme fait partie intégrante de leur vie depuis leur plus jeune âge alors que pour les autres, comme moi, on le découvre plus tard, à l'âge adulte, dans une démarche réfléchie et une envie assumée de vivre autrement.

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Certes, comme toutes les premières fois, j'appréhende, beaucoup de questions se bousculent dans mon esprit. Même si je n'ai aucun souci avec la nudité et aime déjà passer le plus clair de mon temps, avec mon esclave, dans le plus simple appareil, il n’est jamais aisé de se montrer nu comme un ver devant des inconnus. Complexes en tout genre (seins trop petits, genoux déformés) , peur du jugement, du regard de l’autre, d’être ridicule. Aller au delà des préjugés, de son éducation, combattre ses peurs afin de vivre en accord avec soi-même est loin d’être une chose facile. Et je suis sûre de ne pas être la seule dans ce cas. Nombre de femmes se trouve - à tord - trop grosses ou des hommes craignent la comparaison d'une partie de leur anatomie. D'un autre côté, je me dis que les personnes qui décident de passer leurs vacances nues, le font pour le pur plaisir d'être libérées des contraintes (textiles, de la vie quotidienne, de la société en général) et non évaluer les autres vacanciers. Et surtout, je compte sur les habitués pour nous aider à se familiariser avec cet art de vivre, à se libérer et à s'épanouir dans cette nouvelle expérience qui s'offre à moi, à nous.

 

Pour le moment, nous n'avons pas encore de destination précise. Alors si vous avez des suggestions pour une première fois chez les nudistes, ou si vous souhaitez partager votre expérience, je serais ravie de vous lire.

 

 

Source photo : http://archives.varmatin.com/toulon/pour-vivre-heureux-les-naturistes-vivent-peu-caches-a-toulon.942307.html

Par confidences-de-maitresse-emi - Publié dans : Journal intime (réflexions personnelles)
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