Lundi 4 avril
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Mon initiation en tant que maîtresse où comment appréhender cette nouvelle partie de moi qui se veut de plus en plus présente
dans mon imaginaire, mes pensées et mes désirs. Une façon nouvelle de prendre plaisir, celle d'une Maîtresse en devenir qui va apprendre à dresser un esclave...que dis-je, MON esclave.
Maîtresse Emi...
...Une novice de la domination, qui du haut de ses 25 ans à soif de découvrir l'art du dressage de soumis. Élégante, féminine
et ouverte - sur tout et à tous. 1m65 de brutalité, 50 kgs d'autorité, 85B de punitions. Nombreuses sont les personnes qui se décrivent mi-ange, mi-démon - expression aussi banale que
contradictoire, n'est-ce pas ? -, pour ma part je dirais que je suis mi-gnangnan, mi-perverse. J'ai conscience que les pensées sexuelles font parties de mon quotidien mais c'est aussi pour le
plus grand plaisir de mon esclave. Je veux que mon corps soit synonyme de fantasme, qu'il inspire le plaisir de la domination, la souffrance des châtiments. Après tout, quoi de plus jouissif
qu'avoir un esclave à ses pieds ? Tantôt sadique infligeant des sévices corporels, tantôt bienveillante câlinant mon soumis poilu.
Par confidences-de-maitresse-emi
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Publié dans : Apprentissage de maîtresse Emi
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Lundi 4 avril
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22:20
Cela fait maintenant quelque temps que ce désir de domination s'est fait ressentir, et celui qui est devenu mon esclave
savait que l'exploration de cette nouvelle partie de moi me procurerait du plaisir et de la satisfaction. J'ai toujours été un peu - voire beaucoup dans certains cas - dominatrice. Mais cette
fois je suis à la recherche d'un pouvoir plus grand. Je souhaite tout simplement imposer ma supériorité à un homme, faire de lui un objet sexuel à ma disposition, prêt à assouvir le moindre de
mes désirs et caprices. Je veux un esclave docile que je pourrais malmener comme bon me semble. Lui faire prendre conscience de son statut inférieur. C'est d'ailleurs dans ce sens que mes
premières expériences de maîtresse se sont dirigées.
Je me souviens de notre première séance. Nous avons acheté une cravache afin de le
corriger pour ses mauvais agissements (tout au long de la semaine, j'ai relevé toutes les
choses qu'il a mal fait), le plaisir de la punition est si intense que d'autres objets de corrections s’ajoutent : main (la fessé n'est-elle pas le plus simple des plaisirs ?), gant en cuir,
brosse à cheveux, ustensile en bois. Chaque claquement contre sa peau nue m'exalte. Mon corps est parcouru de frissons, des frissonnements de plaisir, car oui, c'est à ce moment que je prends
véritablement conscience qu'on peut éprouver du plaisir en étant sadique.
Au fur et à mesure du temps mon sadisme s'intensifie, je ressens le besoin de montrer encore plus ma supériorité sur mon
soumis. Je réfléchis alors à plusieurs scénarios d'initiation à la condition de soumis, dans chacune de ces situations il est primordial de traiter mon esclave comme un sous-être, un animal, un
objet, et il fût tout cela.
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Tout d'abord un sous-être en étant littéralement à mes pieds. A quatre pattes, il doit ôter mes sous-vêtements (une jolie
guêpière noire en dentelle, maintenue par des porte-jarretelles, le tout perché sur tes talons de 10 cm) en s'aidant uniquement de sa bouche.
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Puis, il se transforme en animal, plus précisément en poney. Toujours sur ses quatre pattes, je dispose sur lui un
paillasson censé représenter la scelle, ensuite je noue une écharpe atour de son cou d’esclave afin de faire des cordes pour le diriger à ma guise. Je m’assieds alors sur son dos ferme et il me
promène dans l'appartement.
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Enfin l'objet, car j'ai envie de manger en allongeant mes pieds sur un meuble, mon esclave n'a pas d'autre choix que de se
mettre en position de table basse pendant que je déguste mon repas (d'excellentes lasagnes préparées par l’esclave en question. Oui, soumis vraiment dans tous les domaines). Lui n'a pas cette
chance puisque je le contrains à déguster son plat dans une jolies assiette Princesse posée à même le sol. Pourquoi une telle assiette ? Car ce jour-là, j'avais décidé de l'infantiliser, une
autre manière de lui montrer ma toute puissance. Et avant ce repas pour adulte, il se délecte d’un petit pot, comme ceux que l'on sert aux bébés. Bavoir noué autour de son cou, je le frappe
quand il en met à côté.
Finalement tout est prétexte pour lui apprendre les bonnes manières Après tout, le dressage d'un esclave se fait au
quotidien.
Par confidences-de-maitresse-emi
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Publié dans : Apprentissage de maîtresse Emi
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